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La revue de presse

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Message  Matthieu Sam 3 Jan 2009 - 0:02

Voir ici. Very Happy
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Message  Luce Mar 1 Déc 2009 - 20:33

Warriors : Yougoslavie, pays de toutes les désillusions (My télé is rich !, 12 novembre 2009).
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Message  Luce Mar 8 Déc 2009 - 20:55

Warriors, Peter Kosminsky (sur le blog "La lettre volée", 14 novembre 2007).

Critique Films : Warriors - L'impossible mission par Filipe (Krinein, 6 novembre 2005).
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Message  Matthieu Sam 29 Mai 2010 - 11:37

Warriors - Dir: Peter Kosminsky Second Coming Season (Film & TV-on-the-big-screen Notes, 8 mai 2010).
Grand merci à Lady7. Very Happy
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Message  Matthieu Sam 27 Nov 2010 - 21:29

War - what is it good for? (The Observer, 21 novembre 1999).
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Message  Matthieu Sam 8 Jan 2011 - 17:30

Warriors, l’impossible mission (série complète) (Critictoo, 8 janvier 2011).
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Message  Luce Mar 29 Mar 2011 - 21:28

«Basé sur 95 témoignages d'impuissance» (Libération, 27 octobre 2000)

Casques bleus comme l'enfer (Libération, 27 octobre 2000)
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Message  Luce Jeu 31 Mar 2011 - 20:42

La revue de presse Telera10
"Le choc Warriors" (Télérama n° 2649, 18 octobre 2000) par Cécile Challier.
Comment être un soldat de la paix dans un pays en guerre ? La question taraudait le documentariste anglais Peter Kosminsky. Construit à partir des témoignages d'une centaine de Casques bleus, son téléfilm, alliance détonante de réalisme et d'émotion, dénonce l'absurdité de leur situation.
C'est un téléfilm qui brûle les yeux et glace le sang. Trois heures passionnantes et terrifiantes, qui vous hantent longtemps, comme un cauchemar. C'est l'histoire de petits gars de Liverpool, qui, à l'été 1992, ignorent ce que leur réserve l'automne. Insouciants, ils descendent des bières en hurlant devant le foot à la télé, emballent les filles, préparent leurs noces. Soudain, ils reçoivent leur ordre de mission pour partir en Bosnie. Les voilà en treillis, héros professionnels, casque bleu sur la tête, montés sur les chars blancs de l'ONU, saluant avec confiance les habitants pleins d'espoir. Premiers contingents étrangers envoyés en Bosnie pour le compte des Nations Unies, ils viennent non pas se battre mais feindre de maintenir la paix sur une terre à feu et à sang. Une mission absurde, dont ils ressortiront détruits psychologiquement. C'est ce paradoxe que dénonce Warriors - un téléfilm de la BBC en deux épisodes de 90 minutes diffusés vendredi soir sur Arte -, avec une intensité dramatique digne des plus beaux mélos et un réalisme époustouflant. Une œuvre télévisuelle excep­tionnelle, à mi-chemin entre documentaire et fiction.
II aura fallu six ans de ténacité pour que ce téléfilm, qui a remporté un énorme succès en Grande-Bretagne, lors de sa diffusion en novembre dernier, voie enfin le jour. Peter Kosminsky, réalisateur et scénariste, est un calme acharné qui prend son temps pour fomenter ses projets et les mener au bout. «J'ai commencé à imaginer Warriors dès 1993, en pleine période des opérations de maintien de la paix, explique-t-il de sa voix posée, avec un accent british impeccable. Je regardais à la télévision des reportages sur la Bosnie, et je me disais qu'au XXIe siècle les militaires ne seraient sans doute plus des combattants mais des policiers de la paix. Dans la région où j'habite, à 200 km de Londres, il y a beaucoup de soldats. Je les voyais revenir de là-bas et je me demandais ce qu'ils y avaient réellement vécu. L'idée de raconter l'expérience humaine d'un groupe de soldats étrangers envoyés dans une guerre qui n'est pas la leur a alors commencé à prendre forme.»
Documentariste de formation, Peter Kosminsky a été reporter de guerre pour la télévision britannique pendant plus de dix ans, avant de passer, au début des années 90, à la fiction. Dès ses premiers reportages, il est intrigué par la condition de soldat, symbole d'une question qui le fascine : comment réagissent les gens ordinaires lorsqu'ils sont confrontés à une situation extraordinaire ? Le plus souvent, il s'attache à un personnage et construit son film autour. «En Afghanistan, j'ai rencontré un jeune conscrit soviétique venu de Crimée. A 17 ans, coincé dans les montagnes, il avait le mal du pays et venait de voir son copain déchiqueté par un obus. Montrer une histoire personnelle et singulière, c'est le seul moyen d'intéresser les gens à ce qui se passe dans le monde. A priori, tout le monde se fout des conflits en Afghanistan, en Bosnie ou ailleurs...»
Pour le documentariste, le passage à la fiction est un prolongement naturel : «Ce sont les mêmes motivations qui m'animent. Je m'intéresse à la politique, aux problèmes sociaux, je me tiens informé par la télé et la presse écrite, mais je ressens toujours une frustration : j'ai l'impression de ne pas vraiment "savoir" ce qui se passe, tant que je ne me suis pas plongé dans un sujet.» Pour ses fictions, il travaille sur des thèmes d'actualité et des faits divers qui auraient pu faire l'objet de documentaires : calvaire d'une enfant maltraitée (Voleurs d'enfance, diffusé en novembre dernier sur Arte), affaire judiciaire (The dying of the light), assassinat d'un jeune Anglais en mission humanitaire (L'Affaire Devereux, multidiffusé sur Arte), ou scandale médical (The Innocents). Depuis la semaine dernière, il tourne un téléfilm sur les dysfonctionnements du Parti travailliste en Grande-Bretagne. «J'ai bifurqué vers la fiction pour plusieurs raisons. D'abord, en Angleterre, les documentaires ne sont jamais programmés en prime time mais plutôt en deuxième partie de soirée. Warriors a été vu par 9 millions de téléspectateurs, parce qu'il a été diffusé un samedi à 21 heures. Un documentaire sur le même sujet n'aurait jamais touché autant de monde. Mais la raison principale, c'est la différence d'émotion que suscite la fiction par rapport au docu. En adoptant le point de vue du héros, le spectateur s'identifie a lui. Il peut se demander ce que lui-même aurait fait, dans la situation vécue par le personnage.»
Aussi, dans Warriors, lorsque les soldats britanniques arrivent à Vitez, en Bosnie centrale, et se retrouvent plongés au cœur d'un conflit auquel ils ne comprennent rien, Kosminsky entretient volontairement la confusion : face à un barrage dressé au milieu de la campagne blanchie par le givre, les Casques bleus ne sont pas capables de savoir si les combattants qui les arrêtent sont des miliciens ou des soldats, des Serbes ou des Croates. Les téléspectateurs non plus. «Mon idée n'était pas de raconter de façon didactique la guerre en Bosnie, mais de montrer que les gars qu'on envoyait sur le front n'étaient pas préparés à ce qui les attendait.»
Pour écrire Warriors, comme pour échafauder tous ses téléfilms, Peter Kosminsky a mené une longue enquête avec une documentaliste, exactement comme il aurait procédé pour un documentaire. Grâce à des petites annonces, puis par bouche à oreille, ils recueillent plus de 90 témoignages de soldats qui reviennent de Bosnie. «Au départ, on ne savait pas du tout ce qu'on allait collecter. Nous ne voulions pas lancer nos interlocuteurs dans des débats politiques mais amasser des anecdotes vécues, des expériences intimes, pour nourrir un scenario qui n'existait pas encore. Les interviews ont été très longues : cinq heures au minimum, jusqu'à trois, quatre ou cinq jours. Avant d'entendre ces témoignages, j'avais imaginé que les opérations de maintien de la paix étaient des missions simples et honorables. J'ai découvert que c'était bien loin d'être le cas...»
Au fil des entretiens émerge l'absurdité des premières missions de l'ONU : alors que le nettoyage ethnique fait rage - les Croates et les Serbes se partagent le pays par la force, en incendiant les villages bosniaques -, les bataillons britanniques ont ordre de ne pas intervenir. Les soldats assistent, pétrifiés, au massacre des populations, contraints de refuser leur aide aux hordes de réfugies, ils comptent les cadavres pendus, brûlés vifs, crucifiés. Le mandat est intenable : entraînés pour combattre, ils ne sont là que pour veiller à ce que la population ait à manger et pour secourir les blessés. Ce sentiment de frustration, d'impuissance, devient le thème central du film. Peter Kosminsky se souvient du témoignage d'un soldat rencontré dans un camp militaire du sud de l'Angleterre : face à l'inertie des Casques bleus, une foule de réfugiés menacés de mort s'était rassemblée devant les tanks. «Cette scène, que j'ai reconstituée à la fin du premier épisode, m'a été racontée par un instructeur militaire, un dur, qui s'est liquéfié en me parlant. Il m'a avoué que depuis trois ans qu'il était rentré il n'avait jamais révélé à personne ce qu'il avait vécu là-bas.» Pour Kosminsky pas question de tourner avec des tanks en toc. A l'usure, après 18 mois de lettres recommandées assorties de relances, il réussit à convaincre l'armée britannique de lui prêter une dizaine de vrais Warriors, ces blindés de 28 tonnes utilisés pour le transport des troupes et des patrouilles. Avec de vrais soldats, seuls habilités à les conduire. Aussi, lorsque le tournage commence, à l'automne 1998, en République tchèque, les Warriors débarquent avec d'authentiques soldats britanniques, qui arrivent tout juste... de Bosnie. Aux commandes des engins, ils jouent les figurants, donnent des conseils et des indications. Jusqu'au jour où le réalisateur leur demande de l'aide pour l'une des dernières séquences du film : les Casques bleus anglais doivent creuser la terre pour y enfouir les corps de 84 Bosniaques. «C'est la seule fois où les vrais soldats ont refusé de participer au film : la semaine passée, ils avaient mis au jour une fosse commune pour le compte du tribunal contre les crimes de guerre...»
Pour jouer les Bosniaques, les Serbes et les Croates, Peter Kosminsky organise un casting d'acteurs professionnels à Sarajevo. Il rencontre également des ressortissants d'ex-Yougoslavie réfugiés à Londres et à Prague. A chacun, il demande de jouer un rôle contraire à ses origines. Ainsi, le commandant croate est joué par un Serbe, le Serbe par un Croate. Au générique, il n'y a pas que des professionnels : Jasmina Sijercic (Aida), l'un des personnages féminins du film, est une étudiante qui a fui la Bosnie pour trouver refuge à Prague. Sheyla Shehovich (Minka) est une Anglaise née de parents yougoslaves, qui joue dans le film ce qu'elle est dans la vie : une traductrice employée par l'armée britannique. Les figurants qui composent les colonnes de réfugiés sont Tchèques, tous issus de cette région frontière de la Pologne qui ressemble par sa topographie à la Bosnie centrale. Les acteurs anglais, enfin, sont tous de jeunes professionnels. Pour seule préparation, ils ont passé une journée sur une base militaire britannique, afin de se familiariser avec les tanks.
Le réalisme de ce téléfilm est tel que, lors de son visionnage, les journalistes du service d'information de la BBC ont été très secoués, ils se sont même réunis pour débattre de l'impact très fort de la diffusion (9 millions de téléspectateurs, c'est énorme) par rapport au travail qu'eux-mêmes avaient produit, au jour le jour, pour couvrir ce conflit. «Les journalistes envoyés sur le terrain ont fait leur boulot», constate Peter Kosminsky. Simplement, et c'est un paradoxe, quand on est au cœur des événements, surtout dans une guerre, on a souvent du mal à comprendre ce qui se passe vraiment, ce qui est en train de se jouer. La fiction permet non seulement de créer des personnages qui font passer l'émotion, mais aussi d'avoir du recul. Ce même recul nécessaire à la fabrication d'un documentaire.»
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Message  Luce Mer 20 Avr 2011 - 16:31

Une fiction pour mieux retracer la réalité en Bosnie. TÉLÉVISION Le meilleur film de l'année est un téléfilm: «Warriors», vendredi sur Arte (La Tribune de Genève, 25 octobre 2000).
[...] Un admirable travail, un téléfilm exceptionnel.Au dernier Festival international des programmes audiovisuels qui se tenait à Biarritz en janvier, cette fiction de deux fois nonante minutes a fait l'unanimité: les jurés lui ont donné la récompense suprême, un Fipa d'or, et le public, bouleversé, s'est levé pour applaudir quand a défilé le générique de fin.Warriors est bien «l'événement télé de cette année», comme l'écrit le magazine Télérama à sa une. Télérama qui va jusqu'à payer une campagne de pub au programme d'Arte. C'est une première. Partout dans les grandes villes de France, des affiches posent la question provocante: «Et si le meilleur film de l'année était un téléfilm ?» [...]
Je me demande quelle photo ils avaient choisie pour l'affichage en ville... Cool
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Message  Luce Mer 20 Avr 2011 - 21:44

Annonce de Warriors dans ARTE Magazine (21-27 octobre 2000).
Photo en couverture et articles pages 29 à 32.

La revue de presse Img_210
Annonce dans Télérama du 18 octobre 2000.

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Message  Luce Jeu 21 Avr 2011 - 17:23

Le Monde a consacré un dossier spécial à Warriors le 22 octobre 2000.

DOSSIER - EVENEMENT Dans l'enfer de la guerre en Bosnie

Course d'obstacles :
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Message  Luce Jeu 21 Avr 2011 - 18:18

DOSSIER - EVENEMENT. Dans l'enfer de la guerre en Bosnie.

WARRIORS, L'IMPOSSIBLE MISSION. Magnifiquement mise en scène par Peter Kosminsky, la tragique épopée de jeunes soldats du contingent britannique de l'ONU parachutés en ex-Yougoslavie et témoins impuissants d'un conflit auquel ils ne comprennent rien.
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Message  Luce Jeu 21 Avr 2011 - 21:59

Le FIPA sous le choc de « Warriors » ( Le Monde du 30.01. 2000 )

Histoire de quatre gars de Liverpool jetés dans le brasier de l'ex-Yougoslavie, la fiction de Peter Kosminsky, pour la BBC, retrace avec réalisme et émotion l'impuissance des « casques bleus » et l'absurdité du mandat onusien. L'événement du 13e Festival international de programmes audiovisuels de Biarritz (du 18 au 23 janvier)
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Message  Luce Lun 24 Oct 2011 - 10:32

Warriors aka Peacekeepers (1999) UNPROFOR Peace Units in Bosnia (All About War Movies, 13 mars 2011).
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La revue de presse Empty Ioan Gruffudd

Message  Matthieu Ven 17 Fév 2012 - 10:46

How 'Ringer' Struck a Chord For Ioan Gruffudd (Back Stage, 15 février 2012).
Back Stage: Have you had a favorite role?

Gruffudd: Every part you have to love. That's where we live; that's where we exist as actors. If I had to choose, it's probably a toss up between "Amazing Grace," directed by Michael Apted and written by Steven Knight, which was based on the character of William Wilberforce who abolished the slave trade, and a project called "Peacekeepers" which was a two-part drama I did with director Peter Kosminsky for the BBC years ago. Matthew Macfadyen, Damian Lewis, and some other great actors were in it. Essentially, it was about the conflict in Bosnia and the British troops that went in as a peacekeeping force.
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Message  Luce Lun 23 Avr 2012 - 19:48

WARRIORS de Peter Kosminsky (1999) (Le Comptoir du Cinéma, 10 janvier 2011)

filmographie indispensable: Warriors, l'impossible mission (1999) (Le Signaleur, 18 décembre 2011)

Warriors, l’impossible mission - la critique (à voir, à lire)
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Message  Luce Dim 14 Oct 2012 - 18:26

Farewell to Arms (Front Row Reviews, 14 octobre 2012).
Excellent article de Jonathan Glen sur Warriors pour marquer le 20°anniversaire du début de la guerre en Bosnie. (1992-1995)
I spoke to Peter Kosminsky, actors Cal MacAninich and Matthew MacFadyen as well as Bosnia expert Chris Leslie, in an attempt to understand more about Bosnia and discuss Kosminsky’s excellent film depicting the story of the UN peacekeepers, 1st Battalion Cheshire Regiment.
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Message  Luce Mar 28 Jan 2014 - 19:58

TV drama comes under fire from army (The Guardian, 20 novembre 1999).
Officers fear fictional story of traumatised peacekeeping troops in Bosnia will compound recruitment problems
Colonel Bob Stewart, who commanded British troops in operation Grapple One, and Martin Bell, the former BBC reporter in Bosnia and independent MP for Knutsford, are understood to have praised the drama.
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